Quand tu m'aimes

Fébrilement je t’attends

Je suis en manque de toi

Je me languis de ton parfum

Sentir ta bouche effrontée

Epouser tous mes rêves

Dans un délicieux va-et-vient

(Ouh)

Retenir nos élans

(Ouh)

Pour que la nuit n’en finisse pas

(Ouh)

Tout oublier

(Tout oublier)

Sous mes doigts impatients trouver ta voie sacrée

Woh-oh-oh

Je n’ai qu’un pays, celui de ton corps

Je n’ai qu’un peché, ton triangle d’or

Je découvre en toi toutes les audaces

Quand tu m’aimes

Lorsque tu dénoues tes jupons soyeux

Moi, je m’engloutis au fond de tes yeux

Ta gorge étincelante, tes buissons secrets

Quand tu m’aimes

Je ne pense plus qu’à me perdre

Au plus profond de toi

Et ta peau manque à ma peau

(Ouh)

J’ai perdu le sommeil

(Ouh)

Et je n’arrive plus à travailler

(Ouh)

Je n’en peux plus

(Je n’en peux plus)

Je paie le prix que paie le vice à la vertu

Oh-oh-oh

Je n’ai qu’un pays, celui de ton corps

Je n’ai qu’un peché, ton triangle d’or

Je découvre en toi toutes les audaces

Quand tu m’aimes

Je souscris à tous ces plaisirs sublimes

Et soudain tu trouves la caresse ultime

Qui arrache en moi un cri de victoire

Quand tu m’aimes

Je n’ai qu’un pays, celui de ton corps

Je n’ai qu’un peché, ton triangle d’or

Je découvre en toi toutes les audaces

Quand tu m’aimes

Lorsque tu dénoues tes jupons soyeux

Moi, je m’engloutis au fond de tes yeux

Ta gorge étincelante, tes buissons secrets

Quand tu m’aimes

Je souscris à tous ces plaisirs sublimes

Et soudain tu trouves la caresse ultime

Qui arrache en moi un cri de victoire

Quand tu m’aimes