Lyrics

Cascade VVS
Pourquoi je suis comme ça, dis-moi
J'ai un 3.5.7 (rahhh)
Pour tuer l'stre-mon dans l'miroir
Je me regarde mais je sais plus qui je vois
À chaque pardon il me faut une kichta
Ge-lar comme culot de Tokischa (Yeah yeah)
À chaque fois que je repars je reviens vite
Mais j'aime trop les diamants, l'or, les saphirs
À chaque fois que je repars je reviens vite
J'arrive plus à contrôler le démon qui m'habite
J'ai donné tellement d'amour à des chiennes
Éblouis par les diamants sur mes chaînes baby
Il y a des traîtres qui tournent autour du gang
J'aurais jamais dû leur donner de l'amour baby
Godbless, je suis passé voir DST dans le binks (Yes)
Je tire le penalty j'suis sans stress
J'aurais pu glisser tant de fois
On a allumé tant de cierges
Nouvel outfit et ça flingue
À chaque fois que je repars je reviens vite
Mais j'aime trop les diamants, l'or, les saphirs
À chaque fois que je repars je reviens vite
J'arrive plus à contrôler le démon qui m'habite
(Yes frérot là c'est les flingueurs babe)
100 000 € dans le sac Hermès
Tout en espèces, je me les fais livrer en express
C'est dommage mais tout ce qui les intéresse
C'est de se faire ma place
Si j'laisse ils vont niquer tout mon business
On sera jamais dissipés
Encore moins par une paire de big S
Tu sais quoi j'ai tout anticipé
J'ai mon glock sous mon t-shirt VVS
Ici jamais S.O.S
Envoie-moi l'adresse en SMS
Je mets le GPS dans le Mercedes
Classe-S qui t'agresse
Je mets vitesse poursuivi par CRS
Comme un petit de Barbès qui chasse en CRF
Ça commence ici G my est-ce que t'as la ref?
Dis-leur Karmen le style on ramène
My men en guerre comme 50 dans Many Men
À chaque fois que je repars je reviens vite
Mais j'aime trop les diamants, l'or, les saphirs
À chaque fois que je repars je reviens vite
J'arrive plus à contrôler le démon qui m'habite
À chaque fois que je repars je reviens vite
Mais j'aime trop les diamants, l'or, les saphirs
À chaque fois que je repars je reviens vite
J'arrive plus à contrôler le démon qui m'habite
Written by: Bvker, Guy2Bezbar, Karmen, Nicolas Divanovic, Unfazzed
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