Saga

Toujours entouré de mannequins

Toujours entouré de mannequins

Eh

Toujours entouré de mannequins, je fais mouche avec mon baratin

Et elles s'en iront dès le matin, j'vais pas t'mentir

Tu n'es vêtue que de Balmain, espèce protégée en sac à main

Le monde est mien comme Tony le Cubain, j'vais pas m'enfuir

J'ai pas d'place pour toi dans mon cœur, j'serai jamais à la hauteur

J'ai une vie trop douloureuse pour toi

Mon navire traversera la peur, trois-cent quarante au compteur

J'ai une vie trop dangereuse pour toi

J'vais pas t'mentir

J'ai fait couler litres de sang et litres de mascara

Si tu penses que j'suis à toi, tu peux partir

Notre histoire n'était qu'un strike, n'en fais pas une saga

Toi, tu réchauffes les cœurs, j'les fais refroidir

J'ai la haine d'un orphelin, la dalle d'un harraga

Si tu savais comme ces haineux m'souhaitent le pire

Je compte plus mes billets comme grossiste de Malaga

Ah-ah, ah-ah-ah

Femme indépendante, elle est fière, la vie c'est dur, Paris c'est pas donné

Elle montre son cul et ses pieds, c'est sûr, vu son nombre d'abonnés

Traite-la comme si tu la voulais, pas comme si tu l'avais

Elle m'dit : « Pourquoi t'as toutes ces bouteilles ? Tant d'oseille, tu souris jamais »

J'ai pas d'place pour toi dans mon cœur, j'serai jamais à la hauteur

J'ai une vie trop douloureuse pour toi

Mon navire traversera la peur, trois-cent quarante au compteur

J'ai une vie trop dangereuse pour toi

J'vais pas t'mentir

J'ai fait couler litres de sang et litres de mascara

Si tu penses que j'suis à toi, tu peux partir

Notre histoire n'était qu'un strike, n'en fais pas une saga

Toi, tu réchauffes les cœurs, j'les fais refroidir

J'ai la haine d'un orphelin, la dalle d'un harraga

Si tu savais comme ces haineux m'souhaitent le pire

Je compte plus mes billets comme grossiste de Malaga

Ah-ah, ah-ah-ah

Si belle et si vicieuse, trop dangereuse pour moi

Surtout ne jamais la marier, à vie tu souffriras

La route est tellement sinueuse, ses courbes n'en finissent pas

Elle n'a pas besoin de me parler, son regard suffira