Elle vit dans un autre monde
Caressée par les ondes
Du bleu au bout des doigts
Divine avec ses formes rondes
Les marins de passage
Se jettent dans ses bras
Elle glisse au beau milieu des vagues
Attirée par le large
Comme une algue mouillée
Son corps, primitif et sauvage
Nous offre un paysage
Que l'on ne peut oublier
Parikiá á á
Déesse d'autrefois
Parikiá á á
Souvent je pense à toi
Elle a du vent dans les cheveux
Et du soleil dans les yeux
Qui lui brûle la peau
Parfois, quand je suis malheureux
Alors je pense à nous deux
Flirtant les pieds dans l'eau
Parikiá á á
Déesse d'autrefois
Parikiá á á
Souvent je pense à toi
À toi la bas, à toi et moi
À toi la bas, à toi et moi
Oh Parikiá á á
Déesse troublante et désirable
Oh Parikiá á á
Souvent je pense à toi là bas
Souvent je pense à toi et moi
