Et dans l'orchestre invisible deux yeux verts me regardent ils me disent que l'amour est tout près
Qu'il viendra comme il vient à tous ceux qui n'ont pas renoncé à souffrir
Qui n'ont pas peur de sentir la morsure qui refusent l'ennui qui nous a à l'usure quand les jours se succèdent sablier monotone
Je ne veux pas d'un piano mécanique à la place du coeur
A la place du coeur
J'ai
Au fond de ma mémoire
Un autre bout du monde
Qui m'appelle et demande sans cesse
Est-ce qu'on sort ce soir
A chaque seconde
Un autre jour se lève
Que le soleil innonde
Je vais danser
A l'autre bout du monde
Où vont les amoureux
Il faut que tu réponde
Et dans l'orchestre invisible tes yeux verts me regardent ils me disent que l'amour est tout prèsQu'il viendra comme il vient à tous ceux qui n'ont pas renoncé à souffrir
Qui n'ont pas peur de sentir la morsure qui refusent l'ennui qui nous a à l'usure quand les jours se succèdent sablier monotone
Je ne veux pas d'un piano mécanique à la place du coeur
A la place du coeur
Je ne veux pas d'un piano mécanique à la place du coeur
