Le neiman

Aucun bâtard m'a écrit bien que Fat Joe soit devenu gre-mai

Là, je vois que le ciel est gris et que la crosse de mon pushka, elle est chromée

Les faux, je vais les détrôner, du Fefe ils vont passer au tromé

Parole de Yougata, ouais, ouais, ça, je te le promets

Je vais la faire comme vous vouliez, fuck le bleu, je veux du violet

Comme Aboubakar au placard, ça va sacrifier du poulet

C'est pour Zraven et BimBim, sans oublier Soulé

Je crois que l'être humain, il est fait d'alcool tellement qu'il m'a saoulé

Sans les toucher, faut les couler, si tu touches une tonne, faut l'écouler

Ou crois-moi que le sang va couler

Et que tes frérots seront cagoulés en bas de chez oi-t

Un peu comme si il se passait rien

Et puis, tu te feras fumer comme un Syrien

Dans la ville de Raqqa

Bienvenue dans ma selha

Pas de mazel tov, pas de psartek, non, ça défouraille sec

Le jour de ton mariage ça prémédite tes obsèques

Non, c'est pas des paparazzis planqués dans les hautes herbes

Y a trop de poucaves, trop d'hiners et aussi l'OCRTIS qui t'observent

Nous, quand on bouge de là, c'est pas par rapport à Solaar

Même khapta je me tiens droit, c'est le comble pour un soûlard

Si tu me dois du seille-o, non, me sors pas tout un scénar'

Sur une instru tah Hadès, big up à tout les zonards

C'est pour mes frérots les taulards, on fuck le proc', ce gros lard

Roule un zdeh, on redémarre, coupable comme Raddad Omar

La vie, c'est comme un mur, t'es le clou ou bien t'es le teau-mar

Mon meilleur pote s'appelle Jean, son nom de famille c'est Neymar

Le procureur a été sévère, nos mères ont trop souffert

Le daron persévère car faut rester fier

Avec moi, pour piloter le mic, pas besoin de péter le Neiman

Non, suffit juste que je m'en approche pour que toute ma rage en émane

Avec moi, pour piloter le mic, pas besoin de péter le Neiman

Suffit de voir la daronne au parloir pour que le cœur, il ait mal

Non, c'est pas des paparazzis planqués dans les hautes herbes

Y a trop de poucaves, trop d'hiners et aussi l'OCRTIS qui t'observent

Nous, quand on bouge de là, c'est pas par rapport à Solaar

Même khapta je me tiens droit, c'est le comble pour un soûlard

Non, c'est pas des paparazzis planqués dans les hautes herbes

Y a trop de poucaves, trop d'hiners et aussi l'OCRTIS qui t'observent

Nous, quand on bouge de là, c'est pas par rapport à Solaar

Même khapta je me tiens droit, c'est le comble pour un soûlard

(Et ouais, ma gueule

T'auras beau nourrir, loger, blanchir

À la fin, ils vont manger

Ils voudront repartir avec l'assiette et les couverts

Et ils te diront « c'était pas bon », ces fils de putes

Yougataga, ma gueule)