J'aime j'aime

Qu’est ce que t’aime, qu’est ce que t’aime ?

Je sais pas moi ça dépend

J’aime plutôt les gens honnête

Qu’est ce que t’aime, qu’est ce que t’aime ?

J’aime bien foutre le camp

Et m’échapper dans ma tête

J’sais pas pourquoi je m’parle à moi-même

Au lieu d’écrire des poèmes

Mais ils y seraient sur mon barème

J’sais pas pourquoi j’me parle toute seule

Pourquoi j’me ris à la gueule

Peut-être que je me marrais

J’aime, j’aime, j’aime la solitude parfois

Celle que l’on choisit pour discuter avec soi

Celle qui fait pas mal et qu’on peut mettre en sourdine

Celle qu’on peut se retirer comme une épine

J’aime, j’aime, j’aime la solitude parfois

Mais j’aime pas les cris quand ils ne s’arrêtent pas

Quand les émotions me plongent en mer enragée

Quand le manque de moi me fait divaguer

Qu’est ce que t’aime, qu’est ce que t’aime ?

Sourire un peu bêtement

En silence écrire une lettre

Qu’est ce que t’aime, qu’est ce que t’aime ?

J’aime regarder le néon

Et me dire qu’il y a peut être

Quelqu’un quelque part au bout du monde

Qui pense à la même seconde à la même chose que moi

Quelqu’un qui divague un peu pour rien

Juste parce que ça fait du bien d’penser à n’importe quoi

J’aime (J’aime), j’aime, j’aime la solitude parfois

Celle que l’on choisit pour discuter avec soi

Celle qui fait pas mal et qu’on peut mettre en sourdine

Celle qu’on peut se retirer comme une épine

J’aime (J’aime), j’aime, j’aime la solitude parfois

Mais j’aime pas les cris quand ils ne s’arrêtent pas

Quand les émotions me plongent en mer enragée

Quand le manque de moi me fait divaguer

(Ouh-ouh)

J’aime tant le silence et je n’crois plus au temps

(Ouh-ouh)

Difficile à dire, c’est juste ce que je ressens

(Ouh-ouh)

Et je vois le passé le future qui s’emmêlent

(Ouh-ouh)

Les secondes s’étirent et tout se joue au présent

(Ouh-ouh)

(J’aime, j’aime)

J’aime (J’aime), j’aime, j’aime la solitude parfois

Celle que l’on choisit pour discuter avec soi

Celle qui fait pas mal et qu’on peut mettre en sourdine

Celle qu’on peut se retirer comme une épiné

J’aime (J’aime), j’aime, j’aime la solitude parfois

Mais j’aime pas les cris quand ils ne s’arrêtent pas

Quand les émotions me plongent en mer enragée

Quand le manque de moi me fait divaguer

Quand le manque de moi me fait divaguer

Quand le manque de moi me fait divaguer