Lyrics

Putain, pourquoi elle répond pas ?
« Ouais, c'est Islem là, rappelle
Tu rends ou-f là, rappelle
Vas-y, j'regrette, rappelle ! »
Le printemps passe et l'amour balayé plus vite que les feuilles d'automne
La routine s'installe, pas de communication, la vie devient monotone
Une larme de sang glisse de sa joue et tombe sur le sol
Je t'aime mais je te hais, c'est l'ironie du sort (Anh)
J'ai beau jouer le bourreau des cœurs
Ce soir on dîne aux chandelles dans le plus beau décor
(Ah-ah-ah)
J'ai refusé de nourrir ma vie de tes pleurs
T'as le plus beau des visages et le plus beau des corps
Je, je, je veux te demander ta main, non, je n'ai pas peur d'affronter le regard de ton père
J'ai, j'ai, j'ai tout ce qui faut pour faire ton bonheur et le mien s'il me valide et qu'il coopère
Moi, j'suis peut-être pas le mec parfait
J'place peut-être quelques disquettes par phrases
Mais je t'assure que si dans ma vie, si tout était à refaire
Je le referais, j'ai trimé pour mériter ma place
Moi, on m'a rien donné dans la vie
De mes mains j'ai construit le plus beau des navires
(Eh, yeah-eh-eh)
Et j'échouerai seul sur une île comme Tom, si, celui-ci chavire
(Eh, yeah-eh-eh, yeah-eh-eh)
Le regard vide, j'ai froid, sans toi
Le printemps passe et l'amour balayé plus vite que les feuilles d'automne
Moi qui ne connais l'effroi, seul dans mon désarroi
Une larme de sang glisse de sa joue puis tombe sur le sol
Je sais qu'tu m'en veux
T'as mis le téléphone en veille
(C'est la faute de ma carrière)
Je sais qu'tu regardes les messages de la veille
(Quand elle rit, j'ai des barrières)
Je sais que j'laisse un-un-un vide dans la pièce
Mais je veux qu'tu sois ma hlel, ma reine, qu'on t'appelle « altesse »
J'ai peur de m'engager, donc je fuis
(C'est la faute de ma carrière)
Elles m'ont sucé le sang comme un vampire
J'voulais juste une reine qui tienne mon empire
(Quand elle rit, j'ai des barrières)
C'est toi
Tu fais partie d'celles qui passent au-dessus de l'oseille et des jantes en alliage
C'est bien plus qu'un flirt car devenir un homme c'est faire sa demande en mariage
Un nouveau chapitre nous était destiné t'as préféré tourner la page
Je t'aime, mais je te hais, de l'amour à la rage
Ah, je me rapelle t'avoir fait la cour
Ce jour-là je savais déjà ce que je ressentais
(Ah-ah)
Oublions nos guerres cérébrales et faisons l'amour
(Ah-ah-ah)
Ce soir je suis seul avec ma coupe, je trinque à ta santé
Et toi, toi, toi qui m'a rendu malade à vie
Tout ce qu'il me reste aujourd'hui ce sont des souvenirs
T'as, t'as, t'as griffé mon cœur avec ta nouvelle manucure
À l'époque je n'ai rien vu venir, non
Hors de question que j'reste par terre
J'espère que t'arrives à te regarder dans la glace
J'ai l'impression de te sentir couler dans mes artères
(Yeah-eh-eh)
Je voulais te montrer les mers et faire le tour de l'Atlas
Chaque fois que j'ai dû te décevoir, ma fierté ne voulait pas que je demande pardon
(Eh, yeah-eh-eh)
Et je sais que tu m'en veux de t'avoir délaissée de la sorte en allant au charbon
(Eh, yeah-eh-eh, yeah-eh-eh)
Le regard vide, j'ai froid, sans toi
(Oh-oh, oh, oh, oh-oh, oh)
Le printemps passe et l'amour balayé plus vite que les feuilles d'automne
(Oh-oh, oh, oh, oh-oh, oh)
Moi qui ne connais l'effroi, seul dans mon désarroi
(Oh-oh, oh, oh, oh-oh, oh)
Une larme de sang glisse de sa joue puis tombe sur le sol
(Oh-oh, oh, oh, oh-oh, oh)
Je sais qu'tu m'en veux
T'as mis le téléphone en veille
(C'est la faute de ma carrière)
Je sais qu'tu regardes les messages de la veille
(Quand elle rit, j'ai des barrières)
Je sais que j'laisse un-un-un vide dans la pièce
Mais je veux qu'tu sois ma hlel, ma reine, qu'on t'appelle « altesse »
J'ai peur de m'engager, donc je fuis
(C'est la faute de ma carrière)
Elles m'ont sucé le sang comme un vampire
J'voulais juste une reine qui tienne mon empire
(Quand elle rit, j'ai des barrières)
C'est toi
Les remords, les regrets
Dis-lui qu'tu l'aimes, mon pote
Va la chercher sous la pluie si il faut
Parce que quand elle sera plus là
Tu comprendras pourquoi j'ai écrit ce morceau
À toutes celles qu'on mérite pas
Je t'aime, moi non plus
Written by: Islam Belouizdad, Madizm
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